Deux sœurs indiennes créent des marques et de prêt-à-porter en Ouganda
≪Kona≫ est une expression qu'on retrouve du swahili, du luganda et de l'hindi, qui a pour signification "angle” dans ces langues. Provenant de leurs noms que ces deux sœurs ont choisi la marque d'accessoires et du prêt-à-porter en 2012. L'article-ci, nous donnera plus d’information sur les marques d’accessoires et sur le prêt-à-porter.
Les techniques de dentelle indiennes et certaines vestes qui sont portées comme des robes.
Les deux sœurs ont réalisé au prime abord des bijoux, des chaussures, de la maroquinerie comme : des sacs à dos, des besaces et pochette qui ont été à base de coton indien. Mais également des objets d'ornement dans le garage de leur maison bien avant d’établir dans la boutique et atelier dans la capitale du Ouaganda. Beaucoup de similarités existent dans la culture indienne et ouagandaise. Ils forment deux lignes similaires qui font partie du mode de vie et du slow de femmes, ce qu’a attesté Bhavya Kalsi. En prenant un exemple, que les deux sœurs usent des manières de broderie indiennes, le piqué de broderie kantha, des vieux jeans pour confectionner des vestes. Des vestes sont aussi portées comme des robes, des boucles d’oreilles sont en mini-or et des sacs sont réalisés en cuir de poisson.
Des produits reconvertis
Pour la main-d’œuvre, les deux sisters ont sollicité des entraides des femmes ouagalaise. Dans tous les domaines comme, le poste de gestion jusqu’aux employés, il n'y a que de femmes dans la boutique de Kona qui valent aux nombres d'une quinzaine… Les deux sœurs disent que ces femmes sont comme leurs familles, bien vrai qu’elles leur donnent de salaire. Non seulement les salaires, elles suivent également des cours d'informatique et des ateliers instructeurs dans le but de leur aider à rehausser leur quotidien.
Pour la main-d’œuvre, les deux sisters ont sollicité des entraides des femmes ouagalaise. Dans tous les domaines comme, le poste de gestion jusqu’aux employés, il n'y a que de femmes dans la boutique de Kona qui valent aux nombres d'une quinzaine… Les deux sœurs disent que ces femmes sont comme leurs familles, bien vrai qu’elles leur donnent de salaire. Non seulement les salaires, elles suivent également des cours d'informatique et des ateliers instructeurs dans le but de leur aider à rehausser leur quotidien.